C’est le paradoxe marocain. Les malades de l’hépatite C disposent désormais au Maroc de traitements efficaces, à coûts réduits, grâce à la production de génériques dans le pays. En revanche, l’accès au dépistage et aux examens biologiques reste largement insuffisant. En cause : les prix ! C’est ce que pointe l’étude publiée par l’Association de lutte contre le sida (ALCS), « Diagnostic et suivi de l’hépatite virale C au Maroc – Etat des lieux, stratégies pour un accès universel », incluant une comparaison internationale avec 20 pays au profil socio-économique similaire.
L’étude a fait l’objet d’une conférence de presse organisée le 30 mai 2018 par l’ALCS. Voici les communiqués de presse en deux versions arabe et française.